Mutualiser les risques : bienvenue dans la copropriété equine
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Mutualiser les risques, vivre des émotions : bienvenue dans la copropriété équine 
Posséder un cheval de course… Voilà une idée qui évoque le rêve, l’élégance, la vitesse. Mais aussi, parfois, l’inaccessibilité. Coûts élevés, complexité, risques.
Et si une autre voie était possible ?
La copropriété permet aujourd’hui d’investir à plusieurs sur un cheval soigneusement sélectionné. Chacun détient une part — 10 %, 20 %, parfois plus — et partage les frais, les décisions… et les émotions.
Pourquoi ce modèle fait-il sens ?
Parce qu’il répond à une logique simple : celle de diversifier pour mieux gérer le risque, tout en s’ouvrant à un univers passionnant.
Ce n’est plus tout ou rien : c’est un chemin par étapes, structuré, encadré, où l’on apprend en avançant.
Un cheval de course performant, ce n’est pas un coup de chance.
C’est le fruit de critères rigoureux :
- l’étude de ses origines (pedigree),
- la qualité de sa conformation,
- sa locomotion,
- son mental,
- et aujourd’hui, les marqueurs génétiques qui permettent d’affiner les projections.
Ces éléments, observés à un stade précoce, permettent d’identifier les profils prometteurs, bien avant les premières compétitions.
Et l’avenir ?
Chaque part donne accès à l’ensemble de la carrière du cheval :
- ses débuts à l’entraînement,
- ses engagements en course,
- ses performances,
- et, parfois, sa revente ou sa carrière d’étalon ou poulinière.
On ne devient pas expert du jour au lendemain. Mais en s’associant, on comprend vite. On suit un cheval autrement.