Retour sur Investissement

Même si cela demeure avant tout un investissement passion, investir dans un cheval de course fait partie des investissements comportant des perspectives de gains très attractives mais également un niveau de risque très important.

Afin de vous permettre d'investir en toute transparence, vous trouverez dans cette section les principales informations concernant le volet financier de votre engagement dans le monde incroyable des courses.

 

Financier

Investir dans une part de cheval de course permet d’accéder à la copropriété d’un cheval de course, habituellement réservée à des socio-professionnels du monde des courses ou des investisseurs importants, sans pour autant investir des moyens importants.

 

L’investissement est proposé sur de très jeunes chevaux (foals ou yearlings), de manière à ouvrir la possibilité de dénicher sur un très bon cheval à un prix raisonnable. A ce stade, le cheval n'ayant jamais été "travaillé", il est impossible de pouvoir prédire avec certitude ses résultats futurs en course.

Néanmoins, il est possible grâce à l'expertise et au travail méticuleux de sélection d' I Want The Winner d'augmenter considérablement vos chances d'investir dans un cheval qui réussira une carrière de course.

 

Cet investissement, par nature risqué et dont la durée est généralement comprise entre 2 et 8 ans, peut être envisagé dans une optique de diversification patrimoniale, ayant pour objectif la réalisation de plus-values à moyen et long terme. Si vous souhaitez vivre une expérience de propriétaire de chevaux en réduisant votre exposition au risque mais également en réduisant significativement votre espérance de gain, il est préférable de vous orienter sur l'acquisition d'un "cheval prêt à courir" (cheval ayant déjà démontré ses aptitudes à la compétition).

 

Votre retour sur investissement est conditionné à la qualité en compétition qui sera démontrée par votre cheval et aux aléas propres au « vivant » (maladie, blessure, décès…). En contrepartie des possibilités de gains potentiellement élevés, les investisseurs doivent aussi prendre en compte et accepter les risques de pertes en capital.

 

Outre le plaisir et les émotions que procurent les courses de chevaux, trois sources de revenus principales pourront vous permettre de rentabiliser votre investissement.

 

Les gains acquis en compétition 

Les chevaux d'une génération (autour de 9500 naissances chaque année) vont se répartir près de 250 Millions d’euros d’allocations. Une allocation, qui va de quelques milliers d’euros à plusieurs centaines de milliers d’euros selon la catégorie de la course, rémunère à chaque course les chevaux arrivés dans les 7 premiers. (45% de l’allocation revient au vainqueur, 25% au second, 14% au 3ième, 8% au 4ième, 5% au 5ième, 2% au 6ième et 1% au 7ième).

 

La carrière de reproduction 

Les compétiteurs ayant démontré une aptitude à la compétition et/ou disposant d’un patrimoine génétique potentiellement améliorateur, seront sélectionnés pour la reproduction. Les femelles qui vont être saillies et leur production exploitée ou vendue, acquièrent une valeur d'élevage. Les mâles sélectionnés accrédités reproducteurs auront quant à eux la possibilité de commercialiser chaque année leurs saillies en devenant Etalons.

 

Sur une génération de mâles (environ 5 000 poulains chaque année), une moyenne de 25 sujets seront accrédités par leur performance en course pour pouvoir débuter une carrière de reproducteur étalons, qui pourra s’avérer très lucrative.

 

Vous l’avez compris, un étalon améliorateur pouvant rapporter plusieurs millions d’euros pendant sa carrière de reproducteur, toute l’industrie du cheval de course est orientée à chaque génération sur la recherche des foals ou des yearlings mâles qui deviendront étalons.

 

La plus-value sur la revente de votre part 

Dès que votre cheval va commencer à s’entrainer et à courir en compétition, son potentiel va pouvoir être apprécié et sa valeur va s’ajuster en fonction de ses performances en course. Si le cheval présente un fort potentiel, le déséquilibre important entre l’offre et la demande de très bons chevaux de course qui existe sur le marché, peut faire apprécier significativement la valeur de votre part et vous permettre, si vous le souhaitez , de réaliser une plus-value importante.

Les statistiques de gains en carrière de course pour un yearling mâle demeurent globalement stables d'une génération à une autre, avec une tendance à l'amélioration du modèle économique des investisseurs liée à l'augmentation régulière du montant des allocations de course allouées, couplée à une baisse lente mais constante des naissances.

Derrière les statistiques, chaque carrière de cheval est unique. De Boccador de Simm, qui en à peine 10 courses a accumulé 243 000 € de gains, et est actuellement l'un des étalons les plus prisé du Stud Book, au célèbre Ready Cash (4 282 300 €) qui a couru plus de 80 courses dès ses 2 ans et jusqu'à ses 9 ans, pour devenir l'un des meilleurs étalons de l'histoire du Trotteur Français, toutes les configurations de carrière sont possibles.

Pour un yearling, l'étape la plus importante reste l'épreuve de qualification, qui donne au cheval le droit de participer aux compétitions, et que seuls 41% d'entre eux réussissent à franchir. Heureusement , le processus de sélection unique, mis en place par I Want The Winner, nous permet d'augmenter très significativement vos chances de qualifier votre cheval pour la compétition, et d'afficher un objectif de 80% des yearlings vendus qualifiés.

 

Espérance de gains en course pour un yearling mâle *
* Statistiques établies la base d’une génération de 5250 mâles (moyenne des naissances constatées de 2016 à 2022) et des résultats moyens constatés sur les générations ayant atteint 8 ans de compétition depuis 2005

Vous l’avez compris, un étalon améliorateur pouvant rapporter plusieurs millions d’euros pendant sa carrière de reproducteur, toute l’industrie du cheval de course est orientée à chaque génération sur la recherche des foals ou des yearlings mâles qui deviendront étalons.

 

Sur une génération de mâles (environ 5 000 poulains nés chaque année), une moyenne de 25 sujets seront accrédités "Etalons" par leur performance en course et pourront entamer une carrière de reproducteur qui pourra s’avérer très lucrative.

 

Cela signifie une probabilité de 1 chance sur 200 d'acquérir  un mâle qui deviendra étalon. 

 

Chez I Want The Winner, nous avons fait le choix de vous proposer essentiellement des foals ou yearlings mâles sélectionnés et présentant un potentiel génétique compatible avec une carrière d'étalon.

Grâce au protocole original de sélection que nous avons mis au point, et aux partenariats exclusifs passés avec des entraineurs ayant les meilleurs résultats, notre objectif est de doubler vos chances d'investir sur un futur étalon.

 

 

Soit 1 chance sur 100 d'obtenir un étalon avec IWW

 

 

Le prix d'un yearling

De mille euros jusqu’à plusieurs centaines de milliers d’euros, vous allez pouvoir rencontrer toute sorte de tarif. Le prix d’un yearling ou d’un foal ne garantira jamais sa réussite en course mais reflétera la qualité de son pédigrée, la généalogie de son père et de sa mère, son aspect physique, la qualité et la renommée de son éleveur, qui sont autant de critères qui augmentent votre probabilité d’investir sur un véritable champion.

Chez I Want The Winner, nous ne mettons en valeur que les yearlings présentant un potentiel génétique important et une excellente conformation. Nous ne sélectionnons que des fils de top-étalons avec des mères aux pédigrées sortant du commun, issus d’élevages de qualité, sans céder aux « effets de mode » injustifiés.

Il vous sera possible d'acquérir une part de  10% d’un yearling ou d’un foal sélectionné à partir de 5 000€ HT et jusqu’à 15 000€ HT.

A noter que les frais d’assurance mortalité, et les frais intervenants avant le départ à l’entrainement de votre cheval (les pensions au repos, les soins vétérinaires courants et les frais de débourrage) vous sont offerts pour votre premier investissement.

Le prix de la part que vous achetez intègre les frais courants pendant un maximum de 10 mois avant la mise à l’entraînement (les pensions au repos, les soins vétérinaires courants et les frais de débourrage).

A partir de la mise à l’entrainement vous assumerez les frais d’exploitation de votre cheval au prorata de votre participation. Ces frais peuvent varier en fonction de l'entraineur et les conditions particulières sont mentionnées sur la fiche de chaque cheval présenté.

 

Les frais fixes

 

  • Lorsque votre cheval sera à l’entrainement, vous devrez vous acquitter mensuellement de votre quote-part de frais de pension et d’entrainement. En fonction des entraineurs il vous faudra compter autour de 150 € HT chaque mois pour une part de 10%.
  • Lorsque votre cheval sera au repos ces frais passeront autour de 35 € HT chaque mois pour une part de 10%.

 

Les frais variables

 

  • Il peut s'agir des frais vétérinaires éventuellement nécessaires. Ils sont par définition imprévisibles. Néanmoins, la moyenne constatée par cheval en course est proche de 400€ HT par an pour une part de 10%.
  • Une prime de performance est attribuée lors de chaque gain en course au jockey/driver (5% des gains) et à l'entraineur (15%à 20%). 

 

Chez I Want The Winner nous savons par expérience que pour actualiser le potentiel d’un cheval il faut s’entourer des meilleurs professionnels. Bien entendu l’expertise a un coût. Nos entraineurs ne sont pas forcément les moins chers, mais ils font partie des meilleurs, et le projet repose énormément sur eux. Sachez qu'un entraineur couvrira à peine ses coûts avec la pension mensuelle, et que c'est la part variable qui lui permet de gagner sa vie.

Que vous investissiez à titre personnel ou par le biais d'une société, la fiscalité des chevaux de courses peut se révéler très avantageuse.

 

Sachez par exemple que si vous investissez à titre personnel et que vous n'êtes ni entraineur ni éleveur de chevaux de course, vos gains en course seront exonérés d'impôt sur le revenu. En effet, lorsque le propriétaire d’un cheval de course non-éleveur, se borne à confier son cheval à un entraîneur sans exercer aucune diligence en vue de s’aménager une source de revenus, les gains de course qu’il réalise, n’entrent pas dans le champ d’application de l’impôt sur le revenu. (BOI-BNC-SECT-60-10). 

Ces opérations ne constituent pas davantage une source régulière de profits imposables dans la catégorie des bénéfices non commerciaux en vertu de l’article 92 du CGI.

 

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