Les erreurs à éviter..

Investir dans un cheval de course est une démarche aussi passionnante que stratégique. Mais même chez les professionnels du secteur, certaines erreurs récurrentes peuvent impacter lourdement la rentabilité ou la satisfaction du projet. Chez I Want The Winner, nous accompagnons des investisseurs depuis plus de 25 ans, et voici ce que nous avons appris à identifier et à éviter systématiquement.
Se fier uniquement au pedigree
Un bon papier est un bon point de départ. Mais à lui seul, il ne garantit rien. Un croisement prestigieux n’a de valeur que s’il est confirmé par la morphologie, la santé, le tempérament, et aujourd’hui le profil génétique.
Ne jamais acheter un cheval “sur le papier” sans validation terrain, vétérinaire et génomique.
Ignorer l’évaluation morpho-fonctionnelle
Des aplombs défectueux, un dos trop long, une locomotion déséquilibrée : autant de défauts que seule une inspection rigoureuse du modèle peut révéler.
Le modèle n’est pas un bonus esthétique : c’est un indicateur clé de solidité, d’exploitabilité et de longévité sportive.
Faites inspecter le cheval par un œil vraiment professionnel — ou faites confiance à une équipe qui le fait pour vous.
Faire l’impasse sur les données génétiques
Aujourd’hui, il serait incohérent d’investir dans un jeune trotteur sans s’appuyer sur les outils offerts par la génomique appliquée. Les 34 marqueurs testés permettent de détecter les profils à fort potentiel… et d’écarter les profils incompatibles avec la performance.
Ne pas tester, c’est accepter d’investir à l’aveugle.
Sous-estimer la préparation et l’environnement précoce
Un bon cheval peut être “raté” si les 10 premiers mois de sa vie sont mal gérés :
- alimentation mal adaptée,
- sociabilisation négligée,
- stress mal géré,
- manipulation insuffisante.
L’environnement d’élevage compte autant que la génétique. Il doit être surveillé dès le sevrage.
Investir seul, sans réseau ou expertise
La gestion d’un cheval de course ne s’improvise pas : sélection, pension, entraînement, planning de carrière, revente… autant de paramètres à maîtriser pour espérer un retour sur investissement.
S’entourer d’experts ou investir via une plateforme structurée est souvent la clé d’un projet durable et réussi.
Penser court terme dans un modèle long terme
Un cheval de course, ce n’est pas un “coup” : c’est un actif vivant, qui évolue, qui apprend, qui se construit. L’impatience ou les attentes irréalistes sont les ennemis de la stratégie.
Adopter une vision de portefeuille, sur plusieurs chevaux ou générations, est une vraie solution.
En résumé
Ne vous laissez pas séduire par un simple nom ou une lignée.
Vérifiez, testez, observez.
Entourez-vous de gens dont c’est le métier.
Et investissez avec méthode, pas à l’instinct.
C’est exactement pour cela qu’existe I Want The Winner.